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Diagnostics immobiliers à Concarneau : AVERTI, votre interlocuteur unique

À Concarneau, AVERTI accompagne les propriétaires, bailleurs et professionnels dans toutes leurs obligations réglementaires. Mettre en vente, louer ou rénover un logement implique en effet de constituer un dossier technique complet. Pour simplifier cette étape, un diagnostiqueur prend en charge l’ensemble des contrôles imposés par la loi : amiante, plomb, gaz, électricité, termites, mesurages Carrez et Boutin, ainsi que l’État des risques. Cette centralisation évite la multiplication des rendez-vous et garantit un suivi précis du dossier. Chaque diagnostic est réalisé à l’aide d’appareils performants et selon les normes en vigueur. Le rapport fourni par AVERTI à l’issue de l’intervention est clair, détaillé et directement exploitable.

Il identifie les anomalies et classe les priorités. Il propose par ailleurs des recommandations adaptées à la situation réelle du bien. Cette approche permet ainsi au vendeur de sécuriser sa transaction, au bailleur de se protéger juridiquement et à l’acquéreur d’être informé en toute transparence. Le recours à un diagnostiqueur unique limite également les litiges. Cela accélère de plus les démarches administratives. À Concarneau, AVERTI se distingue par son sérieux, sa disponibilité et la qualité de son accompagnement. Choisir ce professionnel, c’est garantir un dossier complet et conforme, mais aussi valoriser durablement son patrimoine immobilier en toute sérénité.

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valeurs d' AVERTI

Depuis 2003, nous réalisons des diagnostics immobiliers fiables, clairs et conformes, avec réactivité et précision.

Notre expérience vous garantit un accompagnement sérieux à chaque étape de votre projet

  • Réactivité
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DPE Concarneau

Expert du diagnostic immobilier à Concarneau, le cabinet AVERTI épaule les particuliers qui vendent et qui louent des biens immobiliers. Rédaction du constat relatif au plomb dans les biens anciens, inspection des installations de gaz et d'électricité ou encore examen parasitaire font partie des missions d'AVERTI à Concarneau. Pour en savoir davantage sur les prestations proposées par le cabinet, composez le 02 98 97 14 04.  

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Les actualités
28 Octobre 2025 -

Depuis le 19 août 2025, le registre national des copropriétés, établi dans le cadre du Code de la construction, évolue. Collecte d’informations plus précises et responsabilité des syndics renforcée sont désormais imposées. Explications.

Un dossier d’immatriculation enrichi

Jusqu’ici, le dossier d’immatriculation reposait principalement sur des déclarations en ligne. Désormais, les informations devront aussi être attestées et vérifiées par le teneur du registre. Les syndics — professionnels comme bénévoles — sont tenus de signaler toute erreur constatée. En cas de manquement, leur responsabilité civile pourra être engagée.

Des données plus techniques

Le nouveau décret précise une liste de données dites « principales » qui devront figurer dans le registre :

  • nombre de copropriétaires débiteurs de plus de deux trimestres de charges,
  • montant du fond de travaux,
  • données techniques détaillées
  • mention d’un plan pluriannuel de travaux, s’il existe.

Un outil de prévention renforcé

Par ailleurs, l’objectif de cette démarche est clair :

  • croiser des données techniques et financières pour identifier plus rapidement des copropriétés fragilisées
  • mentionner les diagnostics structurels réalisés et les mesures prises au titre de la lutte contre l’habitat indigne
  • mieux cibler les situations à risque pour intervenir plus vite

À savoir : ces nouvelles règles entreront en vigueur dans 18 mois, afin de permettre aux syndics de réactualiser leurs outils et mieux appréhender ces nouvelles exigences.

28 Octobre 2025 -

Depuis le 19 août 2025, le registre national des copropriétés, établi dans le cadre du Code de la construction, évolue. Collecte d’informations plus précises et responsabilité des syndics renforcée sont désormais imposées. Explications.

Un dossier d’immatriculation enrichi

Jusqu’ici, le dossier d’immatriculation reposait principalement sur des déclarations en ligne. Désormais, les informations devront aussi être attestées et vérifiées par le teneur du registre. Les syndics — professionnels comme bénévoles — sont tenus de signaler toute erreur constatée. En cas de manquement, leur responsabilité civile pourra être engagée.

Des données plus techniques

Le nouveau décret précise une liste de données dites « principales » qui devront figurer dans le registre :

  • nombre de copropriétaires débiteurs de plus de deux trimestres de charges,
  • montant du fond de travaux,
  • données techniques détaillées
  • mention d’un plan pluriannuel de travaux, s’il existe.

Un outil de prévention renforcé

Par ailleurs, l’objectif de cette démarche est clair :

  • croiser des données techniques et financières pour identifier plus rapidement des copropriétés fragilisées
  • mentionner les diagnostics structurels réalisés et les mesures prises au titre de la lutte contre l’habitat indigne
  • mieux cibler les situations à risque pour intervenir plus vite

À savoir : ces nouvelles règles entreront en vigueur dans 18 mois, afin de permettre aux syndics de réactualiser leurs outils et mieux appréhender ces nouvelles exigences.

25 Septembre 2025 -

Depuis la loi « Habitat dégradé » du 9 avril 2024, un nouvel outil préventif voit le jour : le diagnostic structurel des bâtiments d’habitation collectifs. Son objectif est simple : éviter les drames liés aux effondrements d’immeubles et mieux connaître l’état du parc immobilier ancien.

Des zones définies par les communes

Les maires peuvent désormais instaurer, par délibération du Conseil municipal, des secteurs où tout immeuble collectif de plus de 15 ans doit être diagnostiqué, puis contrôlé au moins tous les 10 ans. Ces zones sont choisies en fonction des fragilités locales : forte proportion d’habitat ancien, matériaux de mauvaise qualité, sols instables...

Une obligation encadrée

Une fois la décision municipale notifiée, les propriétaires ou syndics disposent de 18 mois pour transmettre le diagnostic ou, en copropriété, le plan pluriannuel de travaux (PPPT) qui peut tenir lieu de diagnostic. En cas de carence, le maire peut faire réaliser le diagnostic d’office, aux frais des propriétaires.

À noter : seuls des professionnels hautement qualifiés peuvent établir ce document et doivent justifier de compétences techniques, fournir une assurance responsabilité civile professionnelle et garantir leur indépendance vis-à-vis des entreprises de travaux.

Un contenu riche en information

Le rapport comprend différents éléments essentiels :

  • la description du bâtiment
  • l’état des éléments structurels
  • les désordres observés
  • les travaux déjà réalisés
  • voire des recommandations sur des investigations complémentaires